L'HISTOIRE DE NOTRE-DAME-DU-BON-CONSEIL (PAROISSE)

Dans cette page, on retrace brièvement l’histoire de la municipalité et on présente quelques données statistiques tirées de l’inventaire architectural réalisé en 2009. On peut également y indiquer les différentes actions de la municipalité en matière de patrimoine.

Érection canonique :

21 octobre 1895

Érection civile :

15 janvier 1898

Population :

1036 personnes (2023)

Origine du nom :

Mgr Gravel a été un adepte du culte marial et c’est pourquoi il a fondé et nommé quatre paroisses en l’honneur de Marie dont Notre-Dame-du-Bon-Conseil1.

Le territoire de Notre-Dame-du-Bon-Conseil est constitué de quatre agglomérations : Carmel Hill, Blake, Mitchell et le village proprement dit. C’est la voie ferrée qui a contribué à l’établissement des colons dans ces différents lieux. La plupart des habitants des 11e et 13e rangs de Wendover proviennent de Sainte-Clotilde. D’autres colons ont dû choisir entre l’exode aux États-Unis ou s’installer dans un endroit où le commerce du bois est plus florissant. Les villages de Carmel, Blake et Mitchell ont ainsi tiré leur épingle du jeu. Il est à noter qu’au moins les trois quarts du territoire sont la propriété d’industries forestières en 18952.

La famille d’Antoine Lambert a été une des pionnières de Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Antoine Lambert a occupé différents postes pour la municipalité que ce soit surintendant, conseiller, inspecteur de chemins, gardien, etc. Il y a toujours plusieurs descendants de cette famille qui habitent la municipalité. Par exemple, Julien Lambert réside dans la maison construite par son ancêtre Antoine Lambert en 1885. Cette propriété est toujours restée entre les mains de la famille Lambert. Il y a plusieurs autres familles pionnières comme les Rouleau, les Lafond, les Casavant, les Brodeur, les Lafrenière et les St-Pierre3.

Les 10e, 11e et 12e rangs de Wendover et Simpson sont d’abord rattachés à la paroisse de Sainte-Clotilde en 1881. C’est seulement en 1895 que Notre-Dame-du-Bon-Conseil est érigée en paroisse. La première chapelle, la sacristie et le presbytère sont construits par Francis Gauthier pour la somme de 3000$. Ces bâtiments n’ont eu qu’une vie très courte puisqu’un incendie a détruit le tiers de la municipalité dont l’église en 1908. Les paroissiens se sont vus refuser la reconstruction de leur église par l’évêque en raison d’une situation économique précaire. Cependant, la reconstruction du temple religieux a été possible en 1910 grâce à la témérité des paroissiens et à la générosité des paroisses voisines. Les briques offertes par la briqueterie Mitchell ont également été d’un grand secours. Les plans de la nouvelle église sont conçus par l’architecte Louis Caron et la reconstruction du presbytère est aussi confiée à sa compagnie4.

Les anglophones ont leur petite église à Carmen Hill et une maison d’école est utilisée comme lieu de culte à Mitchell5.

Au moins à partir de 1895, on peut dénombrer une école à Mitchell et une autre à Carmel. Les élèves de confession protestante ont leur propre école en 1898. Le nombre d’écoles a varié au fil des années. Par exemple, il y a 11 « écoles privées » et deux écoles des commissaires en 1902 alors qu’il n’en reste plus que huit et 190 élèves en 1908. Neuf ans plus tard, on dénombre dix écoles de rang sur le territoire de Notre-Dame-du-Bon-Conseil. La centralisation des élèves au village s’est réalisée en 19606.

Le chemin de fer circule près des différentes agglomérations de Notre-Dame-du-Bon-Conseil grâce à la Drummond County Railway (RDA). Cette compagnie fondée par Charles Church, Thomas E. Fee et William Mitchell est créée dans le but de desservir leurs industries forestières. La voie ferrée est inaugurée en 1889 et elle traverse la rivière Saint-François pour se rendre sur le territoire de Saint-Cyrille et du 9e rang de Wendover. Le parcours traverse aussi le pont de la rivière Nicolet. La Drummond County Railway a continué sa ligne jusqu’à Saint-Hyacinthe afin de rejoindre le Grand Tronc via Montréal. Une trentaine d’années plus tard, le gouvernement fédéral achète les divers tronçons et les regroupe sous le nom d’Intercolonial qui est ensuite devenu le Canadien National7.

Il y a eu plusieurs gares dont une à Mitchell, visible sur les cartes topographiques de 1924 et 1938, ainsi qu’une à Blake, présente sur les cartes de 1936 et de 19508. Les trois stations assurent le transport du bois vers un port en bordure du fleuve. Le bois de charpente est grandement prisépour la construction de bateaux. L’écorce de pruche est également transportée via la voie ferrée et on s’en sert pour tanner les peaux et les transformer en cuir9.

Avant la création de la municipalité de Notre-Dame-du-Bon-Conseil, les 10e, 11e et 12e rangs de Wendover et Simpson sont annexés à Sainte-Clotilde en 1881 sur le plan religieux et par une loi provinciale en 1883. La municipalité de Sainte-Clotilde a contribué à l’ouverture des chemins notamment du 11e rang de Wendover (St-Lambert) et du 12e rang de Simpson (rang de la Rivière). C’est en 1897 que le village de Carmel est relié par une route menant à la rivière Nicolet et jusqu’au 13e rang de Wendover. On a appelé ce chemin « Grande ligne » puisqu’il délimite les cantons de Simpson et de Wendover. En 1898, un pont de péage, propriété de Michel Archambault, reliant les deux rives de la rivière Nicolet est érigé. Le prix de passage est fixé à 3 cents pour les piétons et à 10 cents pour les voitures10.

L’histoire des ponts à Notre-Dame-du-Bon-Conseil est assez invraisemblable et ne peut pas être passée sous le silence. Le premier pont de bois est construit en 1900 mais le feu l’a réduit en poussière en 1908. Le fer est donc privilégié pour la construction du deuxième pont et sa solidité permet le passage des voitures à traction animale et des automobiles mais pas des camions qui ont causé sa perte. Le troisième pont est terminé en 1932 mais les glaces l’emportent au printemps. Le quatrième pont est bâti à Sainte-Anne-de-la-Pérade avant d’être transporté à Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Ce pont est construit sur le modèle des ponts de chemin de fer. En dépit de cela, il s’effondre lorsqu’un camion happe une « partie névralgique » de l’infrastructure. Étonnamment, le cinquième pont a subi le même sort que le troisième car on s’en est inspiré lors de sa conception. Finalement, le gouvernement du Québec décide d’intervenir et de construire le sixième et dernier pont en ciment. Ce pont n’a pas eu besoin d’être remplacé et il subsiste depuis 1950. Il y a toutefois eu d’importants travaux de construction sur ce pont à l’été 2008 pour en réparer les poutres11. Le vieux pont de fer Mitchell de l’ancienne voie ferrée est toujours utilisé mais seulement par les piétons. Plusieurs chalets sont construits de l’autre côté de ce pont.

L’industrie forestière est au cœur de l’économie de Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Le bois scié est très prisé sur le marché de 1869 à 1875. La chute de la demande est attribuée à l’effondrement du système bancaire en Autriche qui a fait descendre le prix du bois de 50%12.

En 1909, Thomas Caya fait construire un moulin à eau fonctionnant à la vapeur pour scier le bois et moudre le grain près de la rivière Nicolet. Une usine de deux étages est construite au moment où Hector Caya, le fils de Thomas, joint l’entreprise. Plusieurs nouveaux services sont offerts dont la fabrication de portes et de fenêtres, la vente de matériaux de construction et la production de cabines de téléphone en bois. Par la suite, Hector Caya innove avec la fabrication de cabines téléphoniques en aluminium en 1956. Toutefois, le modèle se vend seulement en 1962 à cause de l’étroitesse du marché. Ce design est toutefois devenu le plus populaire au monde et il est souvent copié. Hector Caya figure aussi parmi les premiers à fabriquer des portes d’acier et des portes de patio en aluminium. L’entreprise de Thomas Caya, joint à la chaîne Rona dans les années 1970, est détruite par un incendie en décembre 1985 de même que l’industrie Jaro de Saint-Charles-de-Drummond l’année suivante13. À la suite de ces malheureux incidents, les propriétaires se relèvent les manches et décident de reconstruire. Le magasin Caya de Notre-Dame-du-Bon-Conseil a même reçu le titre de « Plus beau magasin RONA au Canada ». Cette entreprise, qui a fêté ses 100 ans en octobre 2009, vend maintenant des fenêtres pour les maisons centenaires qui ont un cachet patrimonial. Quant à la production de cabines téléphoniques, ce sont les entreprises Jaro qui ont pris le relais. Le président des entreprises Jaro est Jacques Caya14.

L’agriculture connaît un essor remarquable à partir des années 1945 même si l’industrie et le commerce du bois ont continué de jouer un rôle important dans l’économie de la municipalité. L’industrie agroalimentaire a occupé une place de choix puisqu’il y a eu plusieurs fromageries dont celles de Léo de Grandpré, d’Armand Grégoire, de Léo Hamel, de M. Lupien, de Louis Duval et d’Herby Smith. En outre, une usine conçue pour la fabrication du fromage (Agropur) est construite en 1954 en collaboration avec la Coopérative agricole de Granby. En 2009, on considère que la plus grande fromagerie automatisée au Québec est celle de Notre-Dame-du-Bon-Conseil qui fabrique 100 tonnes de fromage par jour. La plupart des habitants de la municipalité travaillent dans le secteur industriel alors que les autres se consacrent à l’agriculture15.

Le village s’est formé un peu plus tardivement que les autres centres de développement. Par exemple, la station de chemin de fer du village est construite après que les trois agglomérations ne soient plus en activité. On peut trouver dans le village un magasin général, une boulangerie, un moulin à scie, une église et une école. C’est un village prospère où la population augmente constamment. L’incendie de 1909 a dramatiquement changé le portrait du village puisque les maisons, le moulin à scie d’Adélard Brisson, l’église, le presbytère, les magasins généraux et le pont de bois sont consumés. Au moment de la reconstruction, plusieurs bâtiments s’ajoutent dont le Bar Bon Conseil qui s’avère le plus vieil hôtel du village. Cet édifice est aussi utilisé en tant que caisse populaire de 1942 à 194516.

L’arrivée du chemin de fer et l’établissement de moulins à scie a conduit à la création des villages de Carmel, Blake et Mitchell. L’agglomération de Carmel est nommée en l’honneur de Joseph Carmel, un ancien écuyer et capitaine du 4e bataillon. En échange de ses loyaux services, il obtient du gouvernement 800 arpents de terre dans les 8e, 9e et 10e rangs de Wendover. C’est aussi grâce à Joseph Carmel qu’une route appelée la route à Carmel, est érigée entre Drummondville et Nicolet. Même si les terres ne sont pas propices à l’agriculture, il y a quelques fermiers à cet endroit. On a accès à une ligne de télégraphe et à une ligne de téléphone, au moins à partir de 1919, et il y a un bureau de poste jusque dans les années 1950. Il existe également une église protestante et un hôtel de trois étages17. Des incendies ont fait des ravages dans ce village que ce soit le premier qui a détruit la scierie de M. Payer en 1893 ou pire encore, l’incendie qui a tout brûlé sur la grande ligne jusqu’à la rivière Nicolet en 1908. Une vingtaine de maisons et le nouveau magasin général sont anéantis. La maison des dames Mallette a survécu à l’incendie. La gare, l’entrepôt et 20 wagons à marchandise sont ravagés et la somme des dommages est évaluée à 25 000$. L’agglomération de Carmel s’est pratiquement éteinte avec ce feu puisque les bâtiments ne sont pas reconstruits et que la compagnie Mitchell plie bagage afin de trouver de meilleures essences de bois ailleurs. Certaines municipalités avoisinantes continuent de fréquenter Carmel en raison de l’abondance de son gravier. C’est aussi grâce à ce gravier que Notre-Dame-du-Bon-Conseil est une des premières municipalités à avoir des routes de gravier sur son territoire18.

C’est en l’honneur des frères Théophilus James et William J. Blake qu’une agglomération a reçu le nom de Blake. Ces entrepreneurs sont propriétaires d’un moulin à scie et de maisons pour y loger les employés. Les frères Blake se sont engagés « à scier, piler et placer le bois dans un ou des wagons du chemin de fer » en fonction des exigences de Church, Mitchell et Fee. L’âge d’or de ce village correspond à l’arrivée du chemin de fer autour de 1888. Malgré la prospérité du village, les frères Blake déclarent faillite en 1890 et leur compagnie est vendue à Church, Mitchell et Fee. Un incendie ravage le moulin Blake en 1893 mais il est reconstruit par la suite. Malheureusement, il y a eu seulement quelques années qui se sont écoulées avant que le feu revienne détruire le moulin à scie, la station de chemin de fer en plus d’une douzaine de maisons en 1899. Ce triste moment est également associé à la fin de l’exploitation forestière dans cette région19.

L’agglomération de Mitchell s’est construite autour du moulin à scie de Vivian Burrill. L’arrondissement du moulin porte le nom de Burrill jusque vers 1890 alors qu’une gare nommée en l’honneur de William Mitchell est construite. William Mitchell est un homme influent dans la région et il détient un grand pouvoir économique et politique. Mitchell est aussi le propriétaire de la maison Mitchell-Marchessault, construite en 1894, qui a été la plus belle de Drummondville. En janvier 1899, Burrill cède son moulin à la compagnie Charles Church & Sons qui le vend à Ovide Brouillard six mois plus tard. Le moulin a dû fermer ses portes à cause de l’épuisement du bois mais la briqueterie et les autres commerces poursuivent leurs activités pendant un certain temps. La briqueterie Mitchell a débuté ses activités en 1907. À l’époque, la production des briques se fait manuellement. Le propriétaire est Émile Théroux et il fait faillite autour de l’année 1925. Émile Théroux laisse toutefois sa marque dans le village en offrant généreusement des briques pour la construction de l’église et du presbytère. La briqueterie est ensuite achetée par Napoléon Potvin qui l’a vend à son tour à des gens de Montréal. En 1936, Arthur Potvin, le fils de Napoléon, achète la briqueterie. Pour financier son achat, celui-ci paie les anciens propriétaires avec des briques qu’il envoie par chemin de fer. Les briques de la briqueterie Mitchell ont aussi servi à la construction de l’hôtel de ville de Drummondville. Cependant, l’édifice a été rénové et les briques ont été changées. Enfin, l’agglomération de Mitchell possède le plus gros des trois moulins à scie, un moulin à bardeaux, un magasin général, un bureau de poste, une centrale de téléphone, un hôtel, une école, une station, une église protestante et l’électricité y est installée. La gare de Mitchell est fermée depuis mai 195820.

Pour en savoir davantage sur cette municipalité, il suffit de consulter le www.paroissendbc.ca.

PATRIMOINE

Voici quelques statistiques tirées de l’inventaire architectural de la MRC.

Type et nombre de biens répertoriés

Répartition selon le type de bien répertorié à Notre-Dame-du-Bon-Conseil (Paroisse)

Bâtiment principal

Bâtiment secondaire

Cimetière

Croix de chemin

Paysage et point de vue

Pont

20

14

0

2

2

1

Une cote22 est attribuée à chaque bâtiment principal et elle tient compte de l’intérêt architectural, patrimonial, culturel et historique du bâtiment.

Répartition selon la cote attribuée aux bâtiments principaux

 

NDBC (Par)

MRC

Cote

Nombre

%

%

CC

9

36 %

44 %

C

6

24 %

19 %

CR

5

20 %

10 %

D

2

2 %

1 %

 

L’année de construction est une information souvent difficile à obtenir parce que peu documentée au fils du temps. Nous avons donc indiqué, le cas échéant, une date approximative selon l’état actuel du bâtiment.

Répartition selon la date de construction

 

NDBC (Par)

MRC

Période

Nombre

%

%

1851-1900

46

60 %

57,7 %

1901-1950

25

33 %

35,5 %

1800-1850

5

7 %

5,3%

1951 et +

0

0 %

1,5 %

En ce qui concerne la description stylistique, 23 styles ont été pré-identifiés. Ce sont des styles reliés essentiellement à l’architecture traditionnelle que l’on retrouve principalement en milieu rural. Lorsqu’un bâtiment mélange plusieurs styles et qu’il est difficile de l’associer à un style particulier, nous avons utilisé la catégorie « Autre ».

Répartition selon le style architectural

 

NDBC (Par)

MRC

Style

Nombre

%

%

Maison à mansarde

6

24 %

4 %

Autre

4

16 %

13 %

Maison de colonisation

3

12 %

18 %

Vernaculaire américain

3

12 %

18 %

Courant cubique

1

4 %

4 %

Vernaculaire commercial

1

4 %

1 %

Maison à lucarne-pignon

1

4 %

13 %

Québécois (Régency)

1

4 %

3 %

Il est possible de consulter la section Inventaire architectural de la MRC pour accéder au module de recherche qui permet d’en savoir davantage sur certains biens patrimoniaux répertoriés dans cette municipalité.

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1 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans. Album-Souvenir Tome II, Drummondville, s. é., 1995, p. 20.

2 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 15, Refonte cadastrale de 1895, Bureau de la Publicité et des Droits et Thérèse Bégin, Si mon comté m’était conté, Les Éditions Gilles Allard inc., octobre 1994, p. 48.

3 Julien Lambert, Résumé de l’histoire de la fondation de Notre-Dame-du-Bon-Conseil, 23 juin 2008, p. 7 et S. A., Municipalités environnant Drummondville, dépliant « Notre-Dame-du-Bon-Conseil), cote 971. 4563, Bibliothèque municipale Côme St-Germain.

4 Inventaire des lieux de culte du Québec, « Église Notre-Dame-du-Bon-Conseil », [En ligne] https://www.lieuxdeculte.qc.ca/fiche.php?LIEU_CULTE_ID=7063, Fiche no 2003-17-043, Fondation du patrimoine religieux du Québec, dernière mise à jour en 2006, page consultée le 3 mars 2009, J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 3, 5 et 7 et S. A., Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel. Blake. Mitchell, Sherbrooke, Les albums souvenirs québécois, 1983, p. 33.

5 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 15.

6 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 44, Refonte cadastrale de 1895, Bureau de la Publicité et des Droits et S. A., Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel…, p.55

7 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 73-74 et J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 3.

8 Carte topographique de 1924, Department of National Defence 31 I-1, carte topographique de 1936, Department of National Defence cote 612cbaC doc. no 31156012339308, carte topographique de 1938, Department of National Defence, cote 612cbaC, document no 31156012339282 et carte topographique 31-H-16 de 1950, Department of National Defence.

9 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 15 et J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 4.

10 J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 3 et 6.

11 S. A., « Des poutres seront réparées sur un pont de Notre-Dame-du-Bon-Conseil », L’Express, [En ligne] https://www.journalexpress.ca/article-216522-Des-poutres-seront-reparees-…, 26 mai 2008, page consultée le 7 avril 2009 et T. Bégin, Si mon comté…, p. 50.

12 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 71.

13 L’industrie Jaro produit des cabines téléphoniques et elle est gérée par l’entreprise des Caya.

14 François Grisé, « Industries Jaro : reflet de l’histoire des Caya », L’Express, [En ligne] https://www.journalexpress.ca/article-i105139-Industries-Jaro-reflet-de-l…, 17 mai 2007, page consultée le 7 avril 2009, La chambre de commerce et d’industrie de Drummond, 50 ans de succès d’entreprise, septembre 2002, p. 34 et S. A., « RONA L’express Matériau de Notre-Dame-du-Bon-Conseil fête ses 100 ans en grand », Communiqué de presse, p. 1 et 2.

15 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 21 et 263, L’encyclopédie canadienne, « Fromage et fabrication des fromages » par D. B. Emmons, [En ligne] https://www.thecanadianencyclopedia.com/index.cfm?PgNm=TCE&Params=f1ARTf0001551, La Fondation Historica du Canada, 2009, page consultée le 3 mars 2009 et S. A. Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel…, p. 9 et 63.

16 J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 6, S. A. Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel…, p. 81 et T. Bégin, Si mon comté…, p. 50.

17 Carte topographique 31-H-16 de 1919, Department of Militia and Defence, Claude Verrier, Saint-Cyrille-de-Wendover, s. l., Saint-Cyrille-de-Wendover, Éditions Clau Ver inc., 1994, p. 288, Entrevue avec l’abbé Germain Langelier, 10 août 2009 et S. A. Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel…, p. 12.

18 C. Verrier, Saint-Cyrille-de-Wendover, p. 289, Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 65, Entrevue avec l’abbé Germain Langelier, 10 août 2009 et J. Lambert, Résumé de l’histoire…, p. 6.

19 Comité du livre, Notre-Dame-du-Bon-Conseil 100 ans…, p. 65 et Comité du livre, Sainte-Brigitte-des-Saults…carrefour d’une belle histoire, s. l., s. é., 2002, p. 235.

20 Comité du livre, Sainte-Brigitte-des-Saults…, p. 235-236, Ernestine Charland-Rajotte, Drummondville, 150 ans de vie quotidienne au cœur du Québec, Drummondville, Acton Vale, Éditions des Cantons, 1972, p. 27, S. A. Notre-Dame-du-Bon-Conseil. Carmel…, p.13 et T. Bégin, Si mon comté…, p. 48.

21 MRC de Drummond, « Notre-Dame-du-Bon-Conseil », [En ligne] https://www.mrcdrummond.qc.ca/Web/Page.aspx?Id=127, page consultée le 10 mars 2009.

22 Signification des cotes :

A : Intérêt patrimonial exceptionnel reconnu

AA : Intérêt patrimonial exceptionnel

B : État très proche de l’original, intérêt historique et/ou culturel

BB : État très proche de l’original, sans intérêt historique et/ou culturel

BN : État très proche de l’original, sans intérêt architectural

C : Ayant subi des altérations mineures, mais modèle original identifiable

CC : Ayant subi des altérations majeures, mais modèle original identifiable

CR : Ayant subi des altérations majeures, sans respecter le caractère original

D : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à conserver

E : En rupture (ne respecte pas l’environnement architectural) à recycler